Le SIDA des chats, c’est « immunodéficience féline » (FIV). Afin de créer cette protéine, des chercheurs Américains ont inséré des gènes de primate dans les ovules fécondée de la mère des chatons.
En effet, les gènes de singe semblent bloquer le FIV. Après l’injection du gène, les chercheurs ont introduit un produit « Fluorescent », tiré de la méduse, qui permet de suivre l’évolution du virus FIV.
Le docteur Eric Poeschala précise sur la chaine de la BBC:
« Ça nous sert à repérer facilement les cellules au microscope ou en éclairant l’animal. Si on montre qu’on peut protéger ces animaux, ça nous donnera beaucoup d’informations sur la manière de protéger ensuite les humains«
Il semblerait que l’expérience soit très prometteuse, car les cellules des chatons résistent au FIV. Si jamais les chatons résistent à la maladie, l’avancée scientifique serait énorme.
Lors d’un échange organisé ce 10 décembre à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), le président de la République…
Le 26 avril 2026, les Folies Bergère accueillent Candace Bushnell, l’auteure à l’origine de Sex…
Lors d’un spectacle perturbé samedi à Paris par des militantes féministes, la Première dame a…
Un adolescent âgé de 13 ans est mort jeudi 4 décembre à Saint-Sébastien-de-Raids (Manche), percuté…
Pour la première fois en près de quarante ans, le mythique Parc Astérix, inspiré de…
Du 8 au 12 décembre 2025, BNP Paribas mettra à l’honneur l’œuvre de James Cameron…